Tandis que je sois assise dans ma salon, je me trouve orientée vers le soleil. Où que je trouve la << fleur éphémère >>, qui n’a pas de souci, ni peur de mort, d’une beauté universel, je trouve la mort, même hypnotisant. Il faut toujours souvenir la mortalité, sans tomber inconsolable. Ça y est, il est dit, où on peut trouver la vie. Quand la mort ne me fait pas peur, je n'aurai pas d'aucune souci. C'est eux qui vivent encore déjà mort qui me fait peur -- pour qui, j'ai rien que la pitie. Je n'avais jamais aperçu que la zombie est un metaphore depuis aller aux Catacombes.
En plus, je suis allée à la cimetière de Montmartre pour un après-midi légère, jusqu’à côté de la metro Gaîté. J'y avais écrit le suivant:
Le train est arrivé comme un vaisseau spatial, le bruit des annonces dès train était
assourdi par le cabine ci-joint. J'avais imaginé que les gens, en descendant du train,
seraient habillés aux scaphandres, et marcheraient si lourd et si lent que les
astronautes.
C’était ma première impression de la ligne 13.
Je suis descendu du train à Gaîté. J’ai marché jusque autour du quartier avant que je
suis allée à la cimetière. C’était calme et tranquille, le visiteur ou visiteuse n’apparaît ni
souvent, ni jamais. Les arbres étaient libre, en atteint du ciel, sans souci, sans peur de
mort, d’une beauté universel.
C’est poétique: entre les tombes il y avait des arbres, des fleurs, et des insects. C’est un
rappel de la continuité et de la certitude de la vie: que la vie n’est pas faite pour vivre,
mais pour le sort de la mort, pour continuer la cycle de régénération. Il faut qu’on se
demande si les arbres sont fait des cadavres, voyant que la terre en est plein.
Est-ce qu’on vit pour mourir, ou meurt pour vivre? La mort m’amène un confort comme
je promenade entre les chemins étroits, flanqués par les arbres, et les hommes
disparus. Je continue de marcher, mais je ralentis, promenant d’un rythme soutenu,
avec prudence de ne pas éclipser l’homme devant moi. La mort n’est pas triste ni
condamnant pour moi, mais libérant. C’est le terminus, l’atterrissage, l’appareil qui
rapport la charme de la vie, sans qui nous ne nous comprendrions rien de la préciosité
dans les moments si ardu et si laborieux. J’attends la mort comme j’attends rentrer à
New York: avec patient anticipation.
Tandis que j’écris ce pièce sur la mort, j’ai reçu un email dès Uniqlo, un publicité pour
une robe nouvelle de leur collection d’été. L’amour, la mort, c’est quoi la difference? je
me demande (au moins phonétiquement, rien). Je vous donne une liste des citations
dès À Bout de Souffle qui parlent sur ce sujet:
Quelle est votre grande ambition dans la vie?
(et l’homme répond:) Devenir immortel et mourir.
(on peut en lire plus ici)
Ces hommes enterré étaient des humains magnifiques, et puis, à présent, ils sont des
souvenirs d’une generation passée.
Une amie m’a demandé de quoi je regretterais si j’aurais dû mourir demain, mais le
réponse que je l’ai donné n’était pas authentique, et je ne peux pas encore trouver le vrai solution.
La cimetière de Montmartre est belle.
Il y a aussi une sensibilité très bizarre de l’idée de la cimetière. Son facticité la met dans une catégorie comme la reste de Paris: faux. Même que la fine art est appelée l’art plastique en français. Il reste qu’il n’est pas l’incapacité de comprendre (ou prendre soin) de la différence entre vrai et faux, mais une préférence pour la synthétique, et pour la perfection à la clé.
L’idée de la mort peut souvent inspirer la motivation de faire quelque chose d’importance. Durant la cherche pour la perfection, ou la travaille qui la suite, on trouve quelques leçons et on gagne quelques experiences qui font l’âme. Autrement, s’il il n’est pas la vérité qu’on cherche, on peut voir le version synthétique à la boutique. Ce n’est pas encore le chemin qu’on cherche, mais la destination. De cette façon, on ne cherche plus la vie, l’amour, le voyage, mais la mort, le destin, l’amour. La vie n’est pas le moyen de la mort, la mort est la catalyseur de la vie.
Aux Catacombes, c'est la même idée sauf que la mort est affichée sur les murs, ayant l'intention de décorer ou de adoucir la mort. La homogénéité de la mort se fait aplanir les niveaux de la société, des structures inventé par les gens avec la pouvoir des armées et la dominance des hommes. Dans la cimetière, les visiteurs font le promenade. Il y a quelques gens âgés, qui pleurent par les morts, mais même pour le vie passante, qui est toujours en train de se terminer, mais pour eux, plus tôt.
C'est ironique que je ne peux pas trouver une fin pour cette expo, mais enfin, il n'y a pas de terminus. La ligne continue jusqu'en retour, en commençant de la route encore.
L’idée de la mort peut souvent inspirer la motivation de faire quelque chose d’importance. Durant la cherche pour la perfection, ou la travaille qui la suite, on trouve quelques leçons et on gagne quelques experiences qui font l’âme. Autrement, s’il il n’est pas la vérité qu’on cherche, on peut voir le version synthétique à la boutique. Ce n’est pas encore le chemin qu’on cherche, mais la destination. De cette façon, on ne cherche plus la vie, l’amour, le voyage, mais la mort, le destin, l’amour. La vie n’est pas le moyen de la mort, la mort est la catalyseur de la vie.
Aux Catacombes, c'est la même idée sauf que la mort est affichée sur les murs, ayant l'intention de décorer ou de adoucir la mort. La homogénéité de la mort se fait aplanir les niveaux de la société, des structures inventé par les gens avec la pouvoir des armées et la dominance des hommes. Dans la cimetière, les visiteurs font le promenade. Il y a quelques gens âgés, qui pleurent par les morts, mais même pour le vie passante, qui est toujours en train de se terminer, mais pour eux, plus tôt.
C'est ironique que je ne peux pas trouver une fin pour cette expo, mais enfin, il n'y a pas de terminus. La ligne continue jusqu'en retour, en commençant de la route encore.